Le président Poutine a signé, ce matin15/10/2016, un décret autorisant le Ministère de la Défense (MoD) à "riposter immédiatement" contre le régime Obama en ciblant les régions côtières de l'Est et de l'Ouest des États-Unis avec un "barrage d’armes spéciales ", dès que la Fédération est attaquée par les Américains. En effet, il y a quelques heures à peine, ceux-ci ont menacé la Russie d'une cyber-attaque massive sans précédent et dont le statut de guerre nucléaire a été élevé à DEFCON-3 [1].
Ces "armes spéciales" que le président Poutine a autorisé le ministère de la Défense à utiliser contre le régime Obama comprennent des E-bombes à micro-ondes haute puissance (HPM), des missiles de croisière et des obus d'artillerie qui utilisent une énorme impulsion radio électromagnétique capables de désactiver les ordinateurs, l’électronique , les véhicules, les missiles guidés et les communications ; tout en laissant les gens et les structures sains et saufs. Ces armes ne viseraient que les régions côtières de l’Est et de l'Ouest des États-Unis, dont sont issus les oligarques qui règnent sur cette nation, sans toucher le "Heartland of America "(Le cœur de l’Amérique, où vivent les gens ordinaires).
Il est important de noter, et comme nous l'avions déjà signalé dans nos rapports du 15 Juin 2015, que la Russie déploie des armes IMP effrayantes [2], et met ses troupes en Position de " Défense étagée". Le président Poutine avait déjà ordonné le déploiement de ces «armes spéciales» pour protéger la Fédération contre les "attaques insensées" contre la Russie par le régime Obama et ses médias de propagande grand public, auxquels il a carrément répondu à l'époque en déclarant:
Le régime Obama justifie cette cyber attaque sans précédent contre la Russie comme étant des représailles à l'ingérence russe présumée dans l'élection présidentielle américaine, par la libération des emails secrets d’Hillary Clinton auprès du public américain. De plus, cette action attribuée à la Russie ne peut en aucune façon être décrite comme une «ingérence», mais, au contraire, elle est plutôt comparable à un «service public».
Ce qui renforce cette affirmation du MoD que la libération des e-mails secrets d'Hillary Clinton est un "service public" rendu au peuple américain, c’est le fait qu’elle se conforme exactement aux déclarations précédentes du Département d'État américain. Ce dernier a en effet publié toutes les communications secrètes du précédent gouvernement ukrainien, qui avait été légitimement élu, et qui a été détruit par un coup d’état ourdi par Hillary Clinton. En publiant ces communications secrètes, les Américains avaient alors déclaré rendre un «service public» aux Ukrainiens.
On voit, par exemple, dans ces e-mails secrets, Hillary Clinton, dans sa campagne de 2008, accuser le président Obama d'être un "trafiquant de drogue musulman" (Vidéo) et même des révélations encore plus choquantes. La semaine passée, ces emails secrets ont révélé sa dépendance à l'égard de ses "bienfaiteurs" milliardaires, son mépris pour le « petit peuple » américain, son intention de supprimer les frontières des États-Unis, sa collusion avec le régime Obama pour garder ses e-mails secrets, son travail en secret avec les médias traditionnels américains pour garder secrets ses crimes et beaucoup d'autres graves compromissions.
Encore plus grave, le président de la campagne d’Hillary Clinton, John Podesta, est "largement connu" comme le complice de la mafia russe dont le président Poutine est un ennemi juré. Cette mafia russe, aidée par la Clinton et le régime Obama lui-même, cherche à détruire la Fédération, de sorte que ses crimes puissent rester impunis.
Il est intéressant de remarquer que, outre Donald Trump, le candidat présidentiel du Parti vert américain, Jill Stein, a commencé à mettre en garde ouvertement le peuple américain au sujet d’Hillary Clinton, en l’avertissant, il y a quelques jours à peine, qu’Hillary Clinton envisage une guerre nucléaire contre la Russie.
Et le plus dangereux pour le peuple américain, est que leurs médias dominants de propagande les " distraient avec des bandes magnétiques et des e-mails". Ils ne leur disent pas à quel point nous sommes sur le bord de la WW3, la Troisième Guerre Mondiale. Par contre, le peuple russe est prévenu (Vidéo) qu’il doit se préparer d'urgence à un conflit radioactif dévastateur, et que chacun doit repérer son bunker, dans lequel il aura droit à 300 grammes de pain par jour lorsque la guerre commencera, et chacun doit préparer son masque à gaz.
En conclusion, la gravité réelle de cette guerre, comme toutes les guerres, ne peut pas être précisément déterminée à l'avance. Mais avec les expériences passées et récentes, on peut supposer ce que le régime Obama-Clinton va faire, on peut deviner qu’un «prétexte sous faux drapeau» sera utilisé pour démarrer un conflit généralisé. Le passé a prouvé depuis longtemps que les gouvernants des États-Unis ont toujours menti à leurs citoyens pour les entraîner dans la guerre ( Vidéo).
Texte en anglais : Putin Authorizes Retaliatory “Special Weapon” Attack On US East-West Coasts
[1] DEFCON est un sigle américain, contraction des termes « DEFense » et « CONdition », qui désigne le niveau d'alerte militaire (defense readiness condition ; littéralement « état de préparation de la défense ») des forces armées des États-Unis1.
Les DEFCON ont été développés par le Comité des chefs d’États-majors interarmées des États-Unis (Joint Chiefs of Staff) et le Commandement Interarmées de Combat (Unified Combatant Command — COCOM). Ils définissent cinq niveaux de préparation (ou états d'alerte), graduels, des forces armées des États-Unis, allant de DEFCON 5 (niveau le plus bas) à DEFCON 1 (niveau le plus élevé), correspondant à différentes situations militaires.
Les niveaux d'alerte
Les DEFCON varient selon les commandements et ont évolué au cours du temps. Le département de la Défense des États-Unis utilise par ailleurs des termes différents pendant les exercices .
État de préparation
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Nom d'exercice
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Description
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Couleur
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DEFCON 1
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COCKED PISTOL
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Préparation maximale des forces (état de guerre). Ce niveau est prévu pour une attaque imminente ou prévue de l'armée américaine ou du territoire américain par une armée étrangère. Ce niveau d'alerte n'a jamais été atteint.
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blanc
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DEFCON 2
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FAST PACE
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Accroissement supplémentaire dans la préparation des forces, mais inférieure à la préparation maximale — les Forces armées des États-Unis sont prêtes à se déployer et à engager en moins de 6 heures
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rouge
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DEFCON 3
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ROUND HOUSE
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Accroissement de la préparation des forces au-dessus de la préparation normale — l'Air Force est prête à être mobilisée en 15 minutes
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jaune[
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DEFCON 4
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DOUBLE TAKE
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Préparation normale, mais renseignements accrus et mesures de sécurité renforcées
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vert
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DEFCON 5
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FADE OUT
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Préparation normale en temps de paix
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bleu
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Mises en application
Historiquement, le DEFCON 2 n'a été atteint qu’une seule fois pendant la crise des missiles de Cuba. Seul le Strategic Air Command (SAC) y fut placé le 23 octobre 1962, les autres forces restant en DEFCON 3. Le SAC ne revint en état DEFCON 3 que le 15 novembre 1965.
Le DEFCON 3 fut adopté le 25 octobre 1973 à la suite du déclenchement, le 6 octobre, de la guerre du Kippour, dans la crainte d'une intervention soviétique. Le dernier commandement à le quitter fut la 6e flotte en Méditerranée, le 17 novembre. Le Strategic Air Command, par contre, passa la majorité de la guerre froide, en DEFCON 4, voire 3.
Plus récemment, le DEFCON 3 a été adopté lors des attentats du 11 septembre 2001.
[2] Une impulsion électromagnétique (IEM), également connue sous le nom EMP (de l'anglais electromagnetic pulse) est une émission d'ondes électromagnétiques brève et de très forte amplitude qui peut détruire de nombreux appareils électriques et électroniques (reliés au courant et non-protégés) et brouiller les télécommunications. Les conséquences d'une telle impulsion sur une zone habitée pourraient être dévastatrices, surtout dans les pays développés.
Hannibal GENSERIC